SuccessStory#16Brenda

Rêver c'est bien, mais se bouger, se motiver pour que notre rêve devienne réalité c'est mieux !

Bonjour Brenda, racontez-nous votre parcours ?

Je m’appelle Grossthor Brenda, j’ai 25 ans, je suis mariée depuis peu et maman de 2 enfants (1 fille de 5ans et un fils de 2 ans).

Mon parcours professionnel a été semé d’embûches pour pouvoir arriver là où j’en suis à l’heure actuelle.

Cela a commencé au collège, lors des vœux. Je savais déjà que je voulais travailler dans la pâtisserie et c’est pourquoi j’avais choisi un CAP pâtisserie en alternance. Malheureusement, les places étaient très prisées et je n’ai pas trouvé de patron pour ma rentrée au lycée. Je me suis donc rabattu sur un BAC PRO dans la vente que j’ai obtenu. J’ai travaillé par ci par là, en magasin mais j’avais ce sentiment de ne pas être à ma place. Ma fille est née en 2016, je suis donc restée un certain temps à la maison pour m’occuper d’elle. A l’approche de ses 1 an, ça a été le déclic !

J’avais tellement envie que son 1er anniversaire soit parfait et d’en faire un beau souvenir que je me suis dis que j’allais lui réaliser un beau et bon gâteau et à partir de là, mon projet à vu le jour : Faire du cake design

En réalité je me suis rendue compte que ce n’était pas la pâtisserie classique qui me plaisait mais le cake design. En premier lieu, j’aurais voulu ouvrir un salon de thé qui propose des spécialités américaines ainsi que des gâteaux de cake design. 

Quelles sont les difficultés et les réussites que vous avez rencontrées ?

Après quelques recherches, j’ai su qu’il fallait impérativement que je passe le CAP pâtisserie pour pouvoir ouvrir mon entreprise.

J’ai donc entrepris une reconversion en faisant un CAP pâtisserie par correspondance. Je me suis entraînée, j’ai pâtissé, étudié jusqu’à pouvoir passer le CAP en candidat libre. J’ai obtenu ce diplôme mais le manque de budget m’a stoppé pour pouvoir ouvrir mon entreprise.

J’ai décidé qu’en attendant d’avoir le budget nécessaire, je n’allais pas rester les bras croisés. J’ai commencé à imaginer le logo, j’ai fait des essais etc pour déjà avoir une base à proposer à mes futurs clients.

Malheureusement, tout ne se passe pas toujours comme on le souhaite. Au bout de 3 ans à attendre que mon projet puisse se concrétiser, j’ai dû revoir mon projet “à la baisse” après des études budgétaires. Cela fut un coup dur… Mais je n’ai pas abandonné ce projet pour lequel je me suis donnée tant de mal et j’ai rebondi. Je me suis renseignée auprès de plusieurs organismes dont la Mission Locale.

J’ai donc décidé que pour commencer j’allais ouvrir un laboratoire, qui sera aménagé dans la cave de ma maison et où je pourrai réaliser des gâteaux de cake design.

Comment la Mission locale vous a accompagnée ?

Je me suis donc renseignée auprès de plusieurs organismes dont la Mission Locale, car pour ouvrir une entreprise alimentaire à domicile, il y a quelques formalités à respecter. J’ai donc pris contacte avec la Mission Locale qui m’a aidé en essayant de répondre au mieux à mes questions (s’ils n’avaient pas la réponse, ils allaient se renseigner afin de m’orienter au mieux). Ils m’ont également aidé en me donnant quelques contacts (que ce soit pour des aides financières, juridiques ou autre) et ce que je trouve génial, c’est le suivi ! Des conseillères au top, qui demandent de nos nouvelles, comment le projet avance etc… 

Et aujourd’hui quelle est votre situation? Comment ça se passe pour vous?

Aujourd’hui, mon entreprise est ouverte depuis un peu plus d’un an; je suis épanouie dans mon travail et c’est ce qui me donne cette volonté de continuer à faire plus !

J’ai de plus en plus de commandes, des clients réguliers qui aiment mon travail, des projets plein la tête pour faire vivre mon entreprise. Avant d’ouvrir mon entreprise, j’ai contacté plusieurs cake designer et tous m’ont dit : c’est un métier difficile, les gens ne savent pas la valeur d’un tel gâteau et les premières années (le temps de se faire un nom) vont être difficiles. Cette phrase est réelle car j’ai eu des hauts mais aussi un bon nombre de bas et je sais qu’il y en aura encore et même si les premières années sont difficiles (surtout en ces temps) je vais continuer sur ma lancée !

Quel message pouvez-vous transmettre aux jeunes?

Si j’avais un message à communiquer aux jeunes, ce serait une phrase que l’on voit assez souvent :

“Fais de ta vie un rêve, et de tes rêves une réalité”
Rêver c’est bien, mais se bouger, se motiver pour que notre rêve devienne réalité c’est mieux ! Et quand on arrive à atteindre ses objectifs, ses rêves etc… On en ressort plus fier.

Portrait 14 #Onveutduvrai

"Il faut croire en ses ambitions et surtout se donner les moyens pour y arriver!"

Parce qu’une vie professionnelle n’est jamais un long fleuve tranquille, parce que nous évoluons et nous saisissons les opportunités. Et parce que, surtout, il ne faut jamais perdre de vue son objectif, nous vous proposons de découvrir à travers plusieurs articles #Onveutduvrai, le parcours de quelques salariés de la Mission Locale. 

Tout au long de votre lecture, vous retrouverez l’authenticité des témoignages de notre équipe. Vous prouver qu’il est possible de réaliser ses rêves avec de la volonté et de la persévérance quoi qu’il arrive fait partie de nos missions d’accompagnement. 

Aujourd’hui c’est Mickaël LIENHART, Directeur Adjoint Administratif et Financier de la Mission Locale d’Alsace du Nord qui nous raconte son parcours depuis l’obtention de son bac professionnel… 

Quel a été votre parcours de formation?

Je me présente, Mickaël LIENHART, marié & père de 2 enfants âgés de 11 et 8 ans.

Tout a commencé à la fin du collège en 2002. A ce moment précis, comme tous les jeunes, la grande question était : mais qu’est-ce que je vais faire comme métier plus tard ?

Mes parents souhaitaient que je m’oriente vers une filière manuelle… mais ça ne m’attirait pas. Après plusieurs interrogations, de nombreuses visites au CIO où je passais différents tests, les résultats obtenus m’orientaient plutôt vers un métier administratif avec l’utilisation d’un PC. Je me suis dis « ouf, enfin une première piste » et j’ai tout simplement décidé de suivre le même cursus que ma sœur, qui avait fait des études en comptabilité.

Je suis allé en lycée professionnel, et puis, comme beaucoup de jeunes, rester dans le milieu scolaire après obtention de mon diplôme ne m’intéressait plus, j’avais envie d’être autonome et de rentrer dans la vie active.

Quel a été votre premier emploi?

J’ai donc répondu à une offre d’emploi en janvier 2007, et j’ai été embauché comme aide-comptable dans le siège d’une grande Association du médico-social (Association Adèle de Glaubitz), puis j’ai rapidement évolué vers d’autres missions et responsabilités ; avec au passage des fonctions de tutorat de jeunes en BTS & DCG, et ce, durant plus de 11 années.

Mon ancienne Directrice Administrative et Financière ne faisait que de m’encourager dans mon évolution, notamment à reprendre mes études ; et aujourd’hui c’est en partie grâce à elle que j’en suis arrivé là.

Qu’avez-vous entrepris comme formation?

Après mûres réflexions, j’ai décidé de passer le cap, en m’inscrivant à une formation par correspondance pour une mise à niveau, puis j’ai entamé les démarches pour faire une VAE, qui comprenait la rédaction d’un mémoire mais aussi la remise à niveau des langues. Et oui, pour l’obtention de la VAE, il me fallait un niveau d’anglais professionnel, sachant qu’à mon niveau, je savais à peine dire bonjour en anglais !  

J’ai donc pris des cours du soir, de manière intensive, tout en alliant vie privée et vie professionnelle : à l’époque, j’étais papa de mon 1er enfant qui était encore très petit. Ce fut une longue période de travail intensif, avec beaucoup de soirées et week-end à me replonger dans le côté scolaire, qui nécessitait beaucoup d’apprentissage d’une part et de rédactionnel de l’autre.

Puis le jour J est arrivé, celui où j’ai dû présenter mon mémoire devant un jury. Je me souviens encore à quel point j’étais stressé et angoissé, mais de l’autre côté, je ressentais également une sorte de fierté par rapport au travail accompli et à mon parcours.

J’avais 5 professionnels devant moi et il fallait que je reprenne confiance en moi et que j’aille au bout de tout ce que j’ai parcouru. J’ai présenté tout mon travail avec conviction, et j’ai même pu échanger en anglais. Mes cours intensifs dans cette langue ont porté leur fruit, et aujourd’hui avec du recul, c’est ce jour-là qui fut le déclenchement d’un nouveau départ.

Quelques semaines plus tard, je reçois à mon domicile la notification et mon nouveau diplôme.  Le fruit de mon travail a été récompensé, et grâce à ça, plusieurs opportunités professionnelles se sont offertes à moi. D’abord par le biais d’un cabinet comptable qui m’a recruté sur un poste de Responsable Administratif et Financier, pour une entreprise du secteur de la presse hebdomadaire. Mais après
1 an ½ sur ce poste, j’avais fait le tour et je commençais à m’ennuyer. Mais c’est aussi du fait que la synergie du secteur médico-social me manquait.

Quelle décision avez-vous prise alors?

J’ai donc décidé de retourner dans le secteur médico-social et souhaitais évoluer dans ce domaine. J’ai postulé à une offre d’Adjoint de Direction, avec en charge toute une équipe administrative, financière et DRH dans une maison de retraite, multisites et j’y étais embauché. La spécificité de ce poste : c’est qu’il s’agissait d’un établissement public ; gros challenge pour moi, puisque la comptabilité publique est différente de la comptabilité privée ; tout comme les RH. Au début, cette prise de poste a été très intense, mais aussi très riche en rencontre humaine.

Que s’est-il passé au moment de la crise sanitaire?

Arrive ensuite la crise sanitaire du COVID en mars 2020, sachant que quelques mois avant, mon directeur m’avait annoncé son départ vers une autre structure du secteur hospitalier. Il fit l’intérim au début, mais a très rapidement été submergé par la charge de travail, conciliant anciennes et nouvelles missions.

En parallèle, la pandémie avait pris une telle ampleur et l’arrivée du nouveau directeur avait été repoussée.

Mais je n’ai rien lâché. En appui avec la cadre de santé et le médecin coordinateur, je coordonnais la mise en place de nouveaux protocoles ainsi que les équipes. Mais au vu du contexte sanitaire, nous étions tous dépassés par la situation, et nous perdions beaucoup en termes de valeurs humaines. Après quelques mois de travail avec le nouveau directeur, et un questionnement quotidien sur mon avenir en lien avec mes valeurs, j’ai décidé de changer de cap, vers un secteur où la personne est au cœur des préoccupations.

1 an plus tard, soit début novembre 2021, me voilà à la Mission Locale d’Alsace du Nord en tant que Directeur Adjoint.

Quel conseil retenir de tout votre parcours ?

Ce qui est important de retenir dans mon parcours, c’est que rien n’est facile, et surtout rien n’est acquis. C’est une adaptation permanente, un questionnement quotidien, mais il faut croire en ses ambitions et surtout se donner les moyens pour y arriver.

To Do list déc 21

Y penser, c'est bien! Le faire, c'est mieux! Votre to do list de décembre

L'ÉVÉNEMENT DU MOIS PROCHAIN

SPEED DATING PARRAINAGE le 18/01

Le Parrainage vous met en contact de manière privilégiée avec un professionnel. L’objectif du parrainage est de créer un « Booster » de l’emploi. C’est vous apporter les conseils et le soutien d’une personne bénévole. Le parrainage est une (re)prise de confiance, un nouveau départ dans vos recherches d’emploi.

Si vous souhaitez nous retrouver le 18 Janvier de 13h30 à 15h30 pour bénéficier de conseils avec notre réseau de parrains/marraines, contactez votre conseiller.ère ! 

EMPLOI

✅ Des offres d’emploi pour vous
Retrouvez toutes nos offres d’emploi, CDI, CDD, contrats d’apprentissage, dans notre rubrique Offres d’emploi

Une offre vous plait ? vous souhaitez postuler ? N’attendez plus!

✅ Plan jeunes « #1jeune1solution »
Compensation de charges, aides à l’apprentissage, etc. ; pour faciliter l’entrée dans la vie professionnelle, des aides à l’embauche des jeunes sont proposées aux entreprises !
Demandez à votre conseiller.e de vous les présenter pour en parler à votre futur employeur.

SERVICE CIVIQUE / VOLONTARIAT

✅ Devenez volontaire en Service civique
Le Service civique permet aux 16-26 ans de s’engager dans une mission d’intérêt général au sein d’une association ou une collectivité en France ou à l’étranger (solidarité, environnement, sport, culture, éducation, santé, intervention d’urgence, mémoire et citoyenneté, aide humanitaire)

https://www.service-civique.gouv.fr/etre-volontaire

ACTU SANTE

✅La contraception bientôt gratuite pour les femmes de moins de 25 ans

Déjà gratuite pour les mineures, la contraception étant, selon les statistiques, en « recul » chez les jeunes femmes avec comme premier motif, le renoncement pour raisons financières, elle le sera également pour les 18-25 ans dès le 1er janvier 2022.

✅ L’Assurance-maladie prendra en charge à 100 % et en tiers payant les frais nécessaires à la #contraception : une consultation par an avec un médecin ou une sage-femme, les examens biologiques afférents, ainsi que les contraceptifs proprement dits : certaines pilules, les implants, les stérilets, les diaphragmes et la contraception d’urgence hormonale.

✅ À savoir : Ne sont pas concernés les préservatifs masculins et féminins, les crèmes spermicides, les patchs, les anneaux vaginaux et les pilules de 3e et 4e générations.

✅ La limite d’âge a été fixée à 25 ans car « c’est un âge qui correspond, en terme de vie économique, sociale et de revenu » à « davantage d’autonomie », selon le ministère.
Il existe de nombreux moyens de contraception aujourd’hui… Apprenez à choisir la contraception la plus adaptée à votre situation avec ce tableau comparatif : ici
 
✅ Après un rapport sexuel mal ou non protégé, il existe la contraception d’urgence. C’est une méthode de « rattrapage » face à une situation à risque de grossesse.
Deux types de contraception d’urgence existent : la #pilule d’urgence hormonale ou le dispositif intra-utérin (DIU, aussi appelé « stérilet ») au cuivre.
Même si l’ovulation est retardée, elle aura lieu. Il est donc possible de tomber enceinte au cours du même cycle.
Continuer sa contraception et utiliser des préservatifs jusqu’aux prochaines règles sont donc indispensables pour éviter tout risque de grossesse non prévue.
+ d’infos: ici

 

FORMATION

✅ Optez pour la formation
Vous êtes prêt.e à apprendre pour augmenter vos connaissances et vous qualifier ? De nombreuses formations sont proposées par la Région Grand Est.

✅ Le saviez-vous ?
L’obligation de formation vous concerne si vous avez moins de 18 ans : c’est une priorité d’accès à la qualification pour les jeunes mineurs.

CULTURE

✅ Le pass culture s’étend aux jeunes de 16 et 17 ans!

✅ Ce qui ne change pas: le pass continuera d’offrir 300€ aux jeunes qui ont fêté leurs 18 ans. Ils ont toute l’année de leur majorité pour en faire la demande, et 2 ans ensuite pour dépenser cette somme.

✅ Nouveauté: l’extension aux moins de 18 ans à partir du 01/01/2022: 

*A 15 ans: 20€

*A 16 ans: 30€

*A 17 ans: 30€

✅ A noter: le reliquat peut être reporté d’une année sur l’autre si la somme n’est pas totalement dépensée!

En tout, un jeune qui fêtera ses 15 ans en 2022, et bénéficiera chaque année des sommes du Pass Culture pourra donc avoir accès à 380€ de produits culturels grâce à ce dispositif!

https://pass.culture.fr/

#DuoDay 2021

Le Duo Day pour faire bouger les lignes!

La sixième édition française du DuoDay, cette manifestation qui rassemble des duos entre une personne handicapée et une personne valide, s’est tenue le 18 Novembre 2021 dans toute la France. La Mission Locale a accueilli pour la 2è fois une personne, Aurélie.  Objectif de la journée: dépasser les préjugés et avancer vers une plus grande inclusion. Cette journée représente une opportunité de rencontre pour changer de regard et, ensemble, dépasser nos préjugés.

Voici son retour de cette journée.

D’où est né ton souhait de participer au Duoday ?

J’étais en pleine réflexion de réorientation et je souhaitais pouvoir avoir la possibilité de faire un choix de la façon la plus éclairée possible. C’est ma conseillère pôle emploi qui m’a parlé du Duo Day, que je ne connaissais pas du tout. J’ai tout de suite été emballée par le concept. Avoir la possibilité de passer une journée en compagnie d’un professionnel pour découvrir son métier est une formidable opportunité.

Comment s’est déroulé ton accueil au sein de la Mission Locale ?

Vraiment parfait ! Tout le monde a été très accueillant et amical et je les en remercie sincèrement.

Quel bilan fais-tu de la journée ?

Le bilan est très positif. J’ai pu avoir une bonne vision du métier, des réponses à mes questions. Même si, une journée, c’est un peu court pour avoir une véritable idée de tous les tenants et aboutissants du métier. Cela permet déjà de savoir si le métier ne nous convient pas du tout, ou si, au contraire, il faut continuer à explorer cette voie. Ça a été vraiment très enrichissant.

Quelles sont les suites que tu envisages de faire ?

Pour ma part, je vais continuer à explorer cette voie. C’est un métier riche de sens et c’est ce que je recherche dans ma vie professionnelle. Les prochaines étapes seront de refaire le point avec mon conseiller à ce sujet, peut-être de faire un stage un peu plus long afin de découvrir plus en détail les différentes facettes du métier, et, bien entendu, d’étudier les possibilités de formation.

Penses-tu que le handicap soit un frein à l’emploi ?

Il n’y a pas vraiment de réponse unique à cette question. Oui, il peut être un frein à l’emploi lorsque le métier que l’on souhaite exercer n’est pas en adéquation avec les limites physiques qu’imposent certains handicaps. Et il n’existe malheureusement parfois pas de solution pour adapter le poste de travail au handicap en question. Mais je pense également que, dans la plupart des cas, le frein est surtout psychologique. On craint parfois d’essayer de nouvelles choses par crainte que notre handicap soit un problème, pas seulement dans les tâches à réaliser mais également pour l’entreprise. On pense parfois qu’être handicapé nous catégorise et nous définit professionnellement, et que l’on est « travailleur handicapé » avant d’être un bon professionnel. Ce qui n’est, bien sûr, pas vrai. On peut être un excellent professionnel malgré son handicap, voire même, grâce à son handicap, qui permet d’avoir une autre vision des choses, qui peut véritablement apporter une valeur ajoutée. C’est une prise de conscience collective à avoir, tant au niveau de la personne handicapée qu’au niveau des entreprises.

Si tu as un message à faire passer, ce serait lequel ?

Un premier message tout d’abord à la Mission Locale: MERCI ! Merci pour votre accueil, pour le temps que vous m’avez accordé, à la conseillère pour sa pédagogie, sa disponibilité, son professionnalisme et sa gentillesse.

Un second pour toutes les personnes qui, comme moi, sont en situation de handicap et cherchent leur voie : n’hésitez pas, le Duo Day est une vraie opportunité qu’il faut saisir, tant pour soi que pour faire changer la vision du handicap au sein des entreprises.   

La Mission Locale propose à chacun d’entre vous un conseiller référent qui vous conseille et vous accompagne dans vos démarches de recherche d’emploi

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