#succesStory23 – Julien

LES CLES DE LA REUSSITE: Ne renoncez pas à vos rêves, garder confiance en soi...

Alors Julien, pouvez-vous nous raconter un peu votre parcours jusqu’ici ?

J’ai un parcours « classique », j’ai fait des études en ressources humaines. 
J’ai commencé par un bac STMG option RH puis un BTS SAM (support à l’action managériale) pour finir avec un baccalauréat de gestion administrative en ressources humaines que j’ai faites en alternance. 

Au cours de mon Bac, j’ai travaillé dans une PME. Ce fut une bonne expérience et je remercie l’entreprise qui m’a accueilli.
Cependant, je me suis rendu compte que mon travail d’assistant de direction n’était pas fait pour moi. Je n’aimais pas la routine, et il manquait le contact humain avec les personnes. 

À la suite de cette expérience j’ai été accompagné par la mission locale de Wissembourg pendant environ un an. Puis je suis arrivé jusqu’à aujourd’hui en formation de CIP.

Je suppose que tout n’a pas dû être facile, pouvez-vous nous dire quelles ont été les difficultés rencontrées ?
Et qu’avez-vous retiré de toutes ces expériences ?

J’ai eu des difficultés à la suite de mon premier travail d’assistant de direction comme le fait de  :

  • Devoir s’adapter et répondre à des demandes et chercher des solutions par moi-même
  • Trouver un sens au travail qu’on fait
  • Trouver sa voie, son métier
  • Reprendre confiance en soi sans savoir où je vais
Comment La Mission Locale vous a-t-elle permise de vous apporter un plus ?
 

Je ne connaissais pas la Mission Locale, j’y suis allé parce que mon frère a été accompagné par la Mission Locale.

J’ai pu reprendre un rythme de vie normal et non nocturne (exemple : se coucher 3 h-13 h), découvrir de nouvelles personnes, faire du bénévolat, relever un challenge en réalisant un trek de 150 km.

Si je dois résumer, la mission locale m’a permis de recréer du lien social, de me remettre dans la « Yes Life », de reprendre confiance en moi et de prendre du recul sur mon parcours.

Avez-vous des projets en cours ou des projets à venir ? Pouvez-vous nous en dire plus ?

Oui, j’ai des projets en cours. Je suis en formation jusqu’en septembre pour devenir CIP. J’aimerais sortir mon premier projet musical et réaliser un deuxième trek avec le même groupe d’ami(e)s avec qui j’ai déjà fait le trek avec la mission locale.

Quel message pouvez-vous transmettre aux jeunes?

Il y a des hauts, il y a des bas, le tout c’est de savoir quand on est dans une « période basse ». Et même lorsqu’on est au plus bas il y aura toujours une personne pour nous venir en aide. 

Concernant le travail, c’est normal d’être perdu et si on ne sait pas quoi faire, je conseillerais aux jeunes de tester plein de métiers afin de pouvoir trouver leur voie. Et pour finir, on a le droit de rêver ou d’avoir un loisir et si on ne peut pas exercer notre loisir en métier, ça ne veut pas dire qu’on doit tout abandonner. On peut avoir un travail et ne pas abandonner ses rêves.

Et aussi savoir être reconnaissant envers les personnes qui nous ont aidé, car pour ces personnes ça peut paraitre rien (un conseil, une discussion…) pour eux, mais pour la personne qui reçoit l’aide ça peut représenter beaucoup. Donc merci à la Mission Locale de Wissembourg pour l’accompagnement et merci aux antennes de Wissembourg, Brumath, Haguenau et Bischwiller qui m’ont aussi accompagné pendant mon stage de CIP.

 

Groupe jeunes Mission Locale Alsace du nord

« Il y a des hauts, il y a des bas, le tout c’est de savoir quand on est dans une « période basse ». Et même lorsqu’on est au plus bas il y aura toujours une personne pour vous venir en aide »

#ToDoList Printemps 2023

Le printemps s'annonce toujours rempli de promesse. Cap sur ton avenir à grand'vitesse!

Joyeux Anniversaire au CEJ "Contrat d'Engagement Jeune"

Depuis le 1er mars 2022 nous accueillons le dispositif Contrat engagement jeunes (CEJ) permettant aux 16-25 ans d’être suivi dans la recherche d’emploi et de définir un projet professionnel.

Le CEJ, c’est pour qui ?

– pour les jeunes entre 16 et 25 ans (29 ans pour les personnes avec une reconnaissance travailleur handicapé)
– ni en emploi (CDI ou CDD de longue durée), ni en formation et ni en étude.
– qui rencontrent des difficultés financières ou matérielles
– qui n’ont pas de projet professionnel défini et ont des difficultés pour trouver un emploi
– prêts à s’engager  

Quels bénéfices?

– Un accompagnement personnalisé et individuel avec un conseiller référent.                                                                                                                      
– Un programme intensif de 15/20 heures par semaine composée de différentes activités (ateliers collectifs, démarches personnelles, recherche de stage, d’emploi, de formation, etc)
– Une allocation pouvant aller jusqu’à 500 euros par mois en fonction de l’âge, des ressources et du respect des engagements. 

Pour y faire quoi?

– Des ateliers collectifs avec d’autres jeunes sur diverses thématiques (logement, emploi, loisirs sport culture, orientation, etc)
– Des stages en entreprise pour découvrir des métiers ou confirmer le projet
– Des formations pour accéder à un métier 

Pourquoi s’inscrire en CEJ ?

– Définir ou confirmer un projet professionnel durable et stable
– Mettre en valeur les connaissancescompétencestalents et gagner en confiance
– Découvrir le monde professionnel, ses codes et son fonctionnement
– Construire un réseau professionnel pour accentuer les chances d’accéder à un emploi durable.
– Rencontrer et échanger avec des jeunes qui rencontrent les mêmes difficultés et faire de nouvelles connaissances.

Engagez-vous et trouvez votre voie avec le CEJ,
contactez la Mission Locale !

ATELIERS

Des ateliers sont mis en place à la Mission locale.

Ils concernent différentes thématiques: l’orientation, l’emploi, la vie quotidienne, la santé, la formation, etc.

Vous allez forcément être intéressé.e par l’un de ces ateliers!

Le but est que vous trouviez par vous-même la solution qui vous corresponde, grâce à des outils pratiques et ludiques réutilisables à tout moment au quotidien.

N’hésitez plus, parlez-en à votre conseiller et inscrivez-vous.!

 

EMPLOI

✅ Retrouvez toutes nos offres dans notre rubrique Offres d’emploi

✅ Des job dating seront organisés par la Mission Locale. Renseignez-vous auprès de votre conseiller.e!

✅ Parce que le Gouvernement a fait de vous une priorité. Pour faciliter l’entrée dans la vie professionnelle, des aides à l’embauche des jeunes sont proposées aux entreprises !
Demandez à votre conseiller.e de vous les présenter pour en parler à votre futur employeur :  https://www.1jeune1solution.gouv.fr/

SERVICE CIVIQUE / VOLONTARIAT

✅ Si vous souhaitez vous sentir utile, le service civique reste un atout majeur pour votre investissement.

Les recrutements par contrat de Service Civique sont toujours en cours

https://www.service-civique.gouv.fr/

 

APPRENTISSAGE

✅ Vous cherchez un contrat d’apprentissage ? Les offres sont publiées sur le site de référence de la Région Grand Est 

Déjà plus de 100 offres référencées!

ORIENTATION

Des journées portes ouvertes sont en cours dans tous les établissements de formation du secteur. Profitez de la présentation des formations et des rencontres avec les enseignants et les élèves pour vous renseigner sur votre futur établissement.

https://agenda.orientest.fr/#/tempsfort/7090/jpograndest

https://jpo.onisep.fr/sec/?strasbourg

 

FORMATION

✅ Des événements sont en ligne sur l’agenda Lorfolio
Les inscriptions sont libres d’accès!

✅ Vous avez besoin d’évaluer, et de développer vos compétences numériques ? Vous avez besoin d’évaluer vos connaissances scolaires pour l’entrée en apprentissage ou en formation? Votre conseiller.ère peut vous proposer des outils en ligne!

✅ Vous êtes prêt.e à apprendre pour augmenter vos connaissances et vous qualifier ? De nombreuses formations sont proposées par la Région Grand Est. Prenez contact avec votre conseiller.e

#succesStory22-Ivan

LES CLES DE LA REUSSITE: Croyez en vous, dépassez vos limites et sortez de votre zone de confort

Bonjour Ivan, racontez-nous votre parcours?

Je me présente, je m’appelle Ivan, j’ai 23 ans et je travaille en pâtisserie dans un hôtel-restaurant.

J’ai eu un parcours assez mouvementé. Après avoir passé un baccalauréat en sciences informatiques en 2017, j’ai décidé de changer de domaine et de me diriger vers les langues. J’ai donc entamé une licence de langues d’Europe de l’Est, avant de me rendre compte du fait qu’un métier manuel me correspondrait mieux, car j’en verrai plus facilement le fruit de mon travail.

C’est donc en 2018 que j’ai commencé mon apprentissage en tant que pâtissier dans une boulangerie de mon village. J’ai obtenu mon CAP en 2020, et j’ai été engagé en tant qu’ouvrier dans cette même boulangerie par la suite. Malheureusement, à la suite de la fermeture de l’entreprise, une période de remise en question s’est installée, et je ne savais pas si je voulais continuer à exercer ce métier.

 

Quelles sont les difficultés et les réussites que vous avez rencontrées?

Lors de mes 4 années passées en tant que pâtissier, j’ai découvert énormément d’aspects bien distincts du métier, négatifs comme positifs.

Dans ce métier, il faut être prêt à faire des “sacrifices”, dans le sens où votre emploi du temps est décalé : se lever tôt, finir sa journée entre 13h et 14h, travailler les week-end/jours fériés, pendant la plupart des fetes… 

Le travail est intense physiquement, dans le sens où l’on porte régulièrement des charges assez importantes (sacs de farine de 25/50kg, cuve de batteur assez lourde et imposante…)

L’aspect mental peut aussi être une difficulté, car il faut posséder un sens de l’organisation, une rigueur et une régularité constante pour garder une certaine qualité de travail, et il peut arriver que les personnes qui vous dirigent vous mettent la pression.

Mais j’ai aussi eu l’occasion de ressentir des grands moments de fierté durant mes quelques années au sein de ma première entreprise.

Assez tôt dans ma période d’apprentissage, mes patrons m’ont donné l’opportunité de travailler seul (j’étais sous la supervision du pâtissier le reste du temps), ce qui consistait à préparer la vitrine le matin : décorer les différents petits entremets, cuire la viennoiserie et la glacer, faire les tartes et les couper pour les mettre en vente… Mais travailler seul voulait aussi dire assurer la production journalière, les diverses préparations d’entremets, ainsi qu’entretenir le laboratoire pour que celui-ci soit toujours aux normes d’hygiène.

J’ai appris énormément de choses au sein de cette entreprise, et j’ai souvent été fier des retours de clients nous disant avoir été très satisfaits des produits que j’avais faits de mes propres mains, et je peux vous dire que c’est exactement pour cela que je fais ce métier : rendre les gens heureux.

 

Comment la Mission Locale vous a accompagné?

A la suite de la fermeture de l’entreprise dans laquelle je travaillais en 2022, je suis rentré dans une période de doute intense sur mon orientation. Je ne savais pas si je voulais continuer sur le chemin de la pâtisserie, car c’est un métier usant physiquement, et où il règne une certaine pression. Ma compagne m’a alors orienté vers la Mission Locale afin que je retrouve un chemin à suivre.

J’ai de suite été bien accueilli. Je me suis senti compris et entre de bonnes mains.

 J’ai passé une série de tests afin de connaître mes intérêts, mes goûts professionnels. Ces tests m’ont donné des possibilités que je ne soupçonnais pas réellement, dans mon corps de métier actuel comme dans d’autres.

J’ai pu aussi sincèrement discuter avec ma conseillère, ce qui m’a fait me décider à rester dans le même corps de métier, mais dans un environnement différent de la boutique : l’hôtellerie.

 

Et aujourd’hui quelle est votre situation? Comment ça se passe pour vous?

Depuis le 7 janvier, je suis commis pâtissier en contrat à durée indéterminée au sein d’un hôtel 5 étoiles dans la région de Schirmeck. Je suis logé et nourri par l’entreprise, et travaille dans une brigade d’une vingtaine de cuisiniers/pâtissiers.

La cuisine y utilise des produits locaux, de qualité, et cela est un aspect très important pour moi.

J’y découvre un tout autre aspect de la pâtisserie, beaucoup plus raffiné dans le dressage, et j’ai même aussi l’occasion de voir un peu de cuisine avec mes collègues.

L’équipe y est très jeune (la moyenne est de 20-25 ans) et l’ambiance est très conviviale, c’est très agréable d’y travailler. 

Je suis fier du chemin que j’ai parcouru, et ai retrouvé le goût de la pâtisserie grâce à cette opportunité que je n’aurais probablement pas saisie si je n’avais pas eu ce chemin à explorer grâce à ma conseillère.

 

Quel message pouvez-vous transmettre aux jeunes?

Mon message aux jeunes est le suivant : Douter est quelque chose de totalement normal. N’ayez jamais peur de chercher de l’aide, vous n’êtes jamais seul, même si vous ressentez l’inverse. Croyez en vous, dépassez vos limites, sortez de votre zone de confort, et le résultat qui vous attend au bout du chemin sera au-dessus de ce que vous vous imaginez. 

Si vous doutez de votre orientation, n’hésitez pas à aller trouver conseil auprès des conseillers de la Mission Locale, ils feront ce qui est nécessaire pour vous accompagner et être une épaule sur laquelle vous appuyer pour avancer dans votre vie professionnelle.

 

#SuccessStory21-Pauline

Il est grand temps de rallumer les étoiles

Bonjour Pauline, racontez-nous votre parcours ?

 

Bonjour, je m’appelle Pauline, j’ai 19 ans et je suis actuellement en première année au Centre de Formation Universitaire d’Orthophonie de Strasbourg. Aujourd’hui, je suis un cursus exigeant mais qui me plaît et je sais que je suis au bon endroit même si les choses n’ont pas toujours été évidentes.

Au lycée j’avais de bons résultats, ayant obtenu mon Bac avec mention « très bien », il était clair dans ma tête que je voulais faire de « grandes études ». Je n’avais aucune idée précise de la voie qui m’attirait mais mon entourage et mes professeurs étaient d’accord avec mon idée de viser grand.

En terminale, quand il a fallut faire un choix et compléter ParcourSup, j’ai commencé à perdre confiance en ma réflexion puisque je n’avais aucune idée de quoi inscrire… J’ai demandé, sous conseils de l’équipe éducative une Classe Préparatoire aux Grandes Ecoles (Economie, Sociologie et Histoire du Monde Contemporain). Le but était d’obtenir les meilleurs résultats possibles pendant ces deux années afin de prétendre à une grande école de commerce et viser des postes de direction dans de grandes entreprises. J’y ai été acceptée, mais la suite s’est avérée beaucoup moins joyeuse.

J’ai malheureusement été confrontée à la perte d’un être cher et j’ai cru que mon ambition et ma volonté d’étudier en prépa n’allaient pas en être affecté, j’avais tord. Je n’étais plus la même et mes objectifs avaient changé malgré ma volonté et celle de mes proches. S’ajoutaient bien sûr à cela la très haute exigence et la rigueur que demandaient ces études et qui bien sûr, étaient difficilement compatibles avec le deuil auquel je devais faire face.

Ma vie avait changé, j’avais changé et je savais que je n’étais plus à ma place.

 

Quelles sont les difficultés et les réussites que vous avez rencontrées ?

 

En premier lieu, il a fallu me rendre compte que je n’étais plus à ma place et que la vision que je me faisais de mon avenir devait changer bien que cette prise de conscience soit terrifiante.

Une fois ce premier pas réalisé, c’est mon entourage que j’ai dû convaincre. Comment rassurer mes proches et réussir à leur faire comprendre que quitter la prépa n’était pas synonyme d’échec, que je n’étais pas en train de gâcher mon avenir alors que moi même je n’étais plus sûre de rien ?

Avec du recul, je réalise que j’ai fait preuve de beaucoup de courage mais sur le moment, j’avais l’impression que le sol se dérobait sous mes pieds.

Ma décision était prise, j’étais sûre de moi et j’avais (par je ne sais quel miracle) réussi à rassurer ma famille. Les choses se sont enchaînées très rapidement, j’ai informé la direction de l’établissent de ma décision, j’ai écrit une lettre à chacun de mes professeurs, j’ai vidé ma chambre et la machine était lancée, c’était le moment de tout recommencer à 0.

Je me souviens du vertige que j’avais ressenti face à toutes ces questions : Qui suis-je ? Qu’est-ce que j’aime dans la vie ? Qu’est ce que je vais faire ? Comment je vais m’en sortir ? Et si je venais de faire la plus grosse erreur de ma vie ? Il était exclu pour moi d’envisager une année supplémentaire à la maison, ce qui me laissait donc un peu moins de 6 mois (jusqu’à la date d’ouverture de ParcourSup) pour aboutir ma réflexion et déterminer un projet d’avenir correctement ficelé.

J’ai eu la chance de recevoir différentes recommandations de nombreuses personnes très bienveillantes. Parmi certaines recommandations, certaines avaient retenu mon attention : le CIO de Haguenau, la sophrologie, l’écriture ou encore la Mission Locale.

 

Comment la Mission locale vous a accompagnée ?

 

Je n’avais aucune idée de ce qu’était la Mission Locale mais l’accueil qu’on m’y a offert était d’une extrême bienveillance. J’ai immédiatement compris qu’on me proposerait un accompagnement personnalisé et adapté à mes besoins.

Les rendez-vous réguliers, la possibilité de contacter ma conseillère dès que j’en ressentais le besoin, les ressources proposées (sites, propositions de salons, de rencontres, tests de positionnements …), tout était fait pour accompagner ma pensée.

J’étais libre de déterminer moi même les points sur lesquels je voulais travailler ainsi que le rythme que nous allions adopter.

Je n’ai jamais été seule avec mes questions, je ne me suis jamais sentie jugée, j’étais entourée de bienveillance et de patience et c’est ce qui fait selon moi la richesse et la beauté de cet accompagnement.

Quand j’ai eu l’idée du métier d’orthophoniste, j’en ai parlé avec ma conseillère et je me suis réellement sentie soutenue et encouragée. J’ai douté pendant un moment, j’avais peur de refaire un mauvais choix mais on m’a fourni les clés nécessaires  pour me rassurer et renforcer l’idée que je venais peut être de rencontrer ma vocation.

 

Et aujourd’hui quelle est votre situation? Comment ça se passe pour vous ?

 

Aujourd’hui je reprends confiance en la vie, j’essaye de m’approprier ces nouveaux objectifs et de les enrichir chaque jour. Je reconstruis mes ambitions, je cherche à découvrir quelles sont mes volontés pour la suite.

Ce que j’ai vécu était une épreuve qui m’a demandé beaucoup de courage et d’énergie mais je sais que je suis à ma place en tant que future orthophoniste, j’ai espoir qu’un jour je pourrai aider mes patients et leur apporter le soutien et l’écoute nécessaires.

 

Quel message pouvez-vous transmettre aux jeunes ?

 

Il arrive parfois que les choses ne se passent comme on l’avait prévu, il arrive aussi que tout nous semble compliqué et que l’impression de perdre pieds ne nous quitte plus mais chacun d’entre nous possède une force incroyable dont on ne soupçonne pas l’existence.

Des personnes sont là pour apporter l’aide nécessaire, un soutien, des conseils avisés …

Ces quelques mots peuvent sembler illusoires mais j’espère sincèrement que vous arriverez à me croire.

 

« Il est grand temps de rallumer les étoiles. »

La Mission Locale propose à chacun d’entre vous un conseiller référent qui vous conseille et vous accompagne dans vos démarches de recherche d’emploi

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